Planifier, Monitorer et Capitaliser, des chantiers en toute sécurite et plus intelligents grâce au BIM et à CAD.42, les héros des nouvelles technos

CAD42 Safer Smarter

Nous avons la chance de recevoir cette semaine une startup innovante qui développe des solutions pour la sécurité et le monitoring sur les chantiers, CAD.42. On sait que le sujet de la sécurité sur le chantier est délicat car il cause chaque année de nombreux accidents, invalidités et décès. Un groupe de jeunes développeurs dynamiques s'est penché sur le sujet afin de trouver des solutions innovantes en s'appuyant sur le BIM et les nouvelles approches numériques. Nous recevons le co-fondateur et Président de CAD.42, Jean-Philippe Panaget.

Jean-Philippe Panaget
Jean-Philippe Panaget
Co-fondateur et Président CAD.42
jppanaget@cad42.com
Linkedin : https://www.linkedin.com/in/jppanaget/
Twitter : https://twitter.com/CAD42_official
Site web : https://cad42.com/

Bonjour Jean-Philippe, merci de venir nous rendre visite sur ABCD Blog. Nous lecteurs seront ravis de vous connaître un peu mieux. Mais pourriez-vous tout d’abord vous présenter et nous parler de votre parcours ?

J’ai 30 ans, je suis ingénieur en calcul scientifique, et j’ai travaillé en tant qu’ingénieur logiciel pendant 3 ans, pour une start-up éditrice de logiciels qui développait des solutions innovantes autour de la maquette numérique mais dans l’automobile. L’entreprise s’est plutôt bien développée puisqu’elle a été rachetée récemment pour 300 M$ par Ansys. Je crois que cette expérience m’a donné le goût de l’innovation pour l’industrie. J’ai alors décidé de créer CAD.42 fin 2016 avec 3 autres co-fondateurs.

Combien de personnes êtes-vous et comment êtes-vous organisés ? Faites-vous notamment du service ?

Aujourd’hui nous sommes une dizaine de salariés. Je dois souligner que nous sommes tous assez « tech » puisque nous sommes tous ingénieurs de formation. Certains se sont égarés en école de commerce pour compléter leurs cursus comme moi 😊.
Nous avons 3 pôles techniques principaux que sont :

Le pôle hardware, qui est en charge de concevoir, prototyper et industrialiser les capteurs que nous déployons sur les chantiers de nos clients.

Le second pôle est le pôle data, en charge de développer et maintenir la plateforme d’aggrégation de données ainsi que les algorithmes qui vont être utilisés. Nous créons ainsi de la valeur pour nos clients, que ce soit en détectant des presqu’accidents ou en envoyant des rapports d’activité Lean automatique, à propos de la grue par exemple.

Le troisième et dernier pôle est le pôle opérationnel, en charge d’assurer le déploiement et la maintenance des sites équipés avec nos systèmes.
Le département produit est dirigé par un ancien conducteur de travaux qui est en charge de la définition des roadmap et du suivi projet avec les clients.

Faites-vous notamment du service ?
Nous proposons des solutions clés en main pour le chantier connecté mais parfois, pour des demandes spécifiques, nous proposons également du service de conception hardware et/ou logiciel à la demande.

Quand avez-vous décidé de créer CAD.42 et pour quelles raisons ?

Nous avons créé CAD.42 fin 2016. Venant du monde du manufacturing et en ayant travaillé sur les sujets de maquette numérique et de l'industrie 4.0, je me suis intéressé à l’arrivée du BIM dans la construction. L’état de maturité de l’écosystème sur ces sujets m’a paru assez faible comparé à l’industrie automobile, ce qui représente, à mon sens, une opportunité forte de croissance dans les prochaines années. Par ailleurs, les statistiques en terme de sécurité des hommes, de productivité, ou de qualité montrent un fort besoin d’améliorer les processus sur le terrain et pour cela, il faut pouvoir Planifier, Monitorer et Capitaliser les données qui sont aujourd’hui pas ou sous-utilisées. CAD.42 est alors né.

Vous avez récemment fusionné avec une autre société – TwistEngine- spécialiste de la création d’applications 3D modèles pour le game, pour quelles raisons ?

En effet, TwistEngine est spécialisé dans la numérisation 3D de phasages de chantier à des fins marketing en phase de réponse d’appels d’offres par exemple. Cette activité qui peut paraitre éloignée de notre cœur de métier. Néanmoins qui dit phasage, dit temporalité et c’est exactement ce que rajoute les objets connectés au BIM : la dimension de temps (que ce soit en temps réel ou en replay). Par conséquent, le cœur de la technologie développée par TwistEngine va être directement intégrée dans notre application FieldTracker qui permet le suivi en temps réel du chantier.
L’objectif est également de développer les activités de TwistEngine afin de proposer à nos clients de valoriser leurs méthodes par le BIM 4D dès l’appel d’offre. Une fois ce BIM 4D réalisé, la maquette numérique est prête pour l’utilisation des services et produits CAD.42 en phase d’exécution.

Quelles solutions proposez-vous ? Et sur quelles nouvelles technologies vous appuyez-vous à part le BIM ?

Nous avons une offre « chantier connecté » qui permet de monitorer l’ensemble des éléments équipés de tags CAD.42 de manière très précise. Nous plaçons ces capteurs sur tout ce qui est générateur de valeur, de gâchis ou de danger : sur les engins, le moufle de grue, les palettes matériaux … Nous équipons également les compagnons d’une veste connectée munie de signaux sonores et lumineux. Le client a alors accès à l’application FieldTracker qui permet de visualiser l’ensemble des flux du chantier et de créer des règles qui sont le reflet de son expertise terrain : règles de sécurité, processus de validation de placement de passerelle, génération de rapports d’activité, etc.

Fieldtracker-viewer2

Nous avons également découlé de notre offre « chantier connecté », un certain nombre d’offres simple à mettre en œuvre comme notre solution de signalisation augmentée qui va officiellement sortir en janvier 2019 et qui se compose d’un bracelet connecté qui va directement lire les données émises par des panneaux de signalisation (collision, interdiction, danger, obligation, information). Une autre offre dissociable du « chantier connecté » est notre boitier et logiciel d’analyse de mouvements de grue (« Lean de la grue »). La grue étant le métronome du chantier, cette offre permet d’obtenir des graphiques et métriques sur l’utilisation de la grue de manière quotidienne. Ces données permettent alors d’identifier des problèmes sur le chantier de manière global que ce soit l’évolution des zones de stockage ou des livraisons trop rapprochées par exemple.

Ensemble des produits CAD.42

En ce qui concerne les technologies utilisées, nous proposons une application hébergée dans le Cloud qui nous permet de pousser le traitement de données au maximum – Un chantier connecté, ce sont des millions de données collectées et traitées tous les jours, on peut alors parler de Big Data. Bien entendu, nous travaillons également sur des technologies innovantes en ce qui concerne la partie hardware de notre solution qui nous permet d’assurer la communication et la géolocalisation des opérations.

Vous voulez connecter le BIM et le chantier et amener le BIM sur le chantier, pour quelle raison et comment ?

L’industrialisation de la construction passe par les mise en place du triptyque : Planifier, Monitorer et Capitaliser. Le BIM est l’outil clé pour Planifier que ce soit les méthodes mais également les règles de sécurité. Lier le planning des méthodes à la maquette, c’est ce que l'on appelle, le BIM 4D et c’est pour nous la première étape du triptyque évoqué. Les objets connectés apportent l’état des opérations à tout moment et il devient alors possible de comparer ce qui a été prévu et ce qui est en train de se passer dans le but de détecter au plus vite des anomalies et prendre des actions correctives.
Pour que le BIM soit adopté par le chantier, il faut qu'il soit utile aux opérateurs (conducteurs, chefs de chantier, compagnons, …) du chantier.
Amener le BIM sur chantier, c’est apporter une base de connaissance aux compagnons directement sur leurs postes d’opérations. Il y a deux ans, nous communiquions de manière assez simple avec l’opérateur via une veste connectée qui s’allumait et bipait lorsque le compagnon rentrait dans une zone interdite définie dans le BIM. Aujourd’hui nous sommes capable avec notre bracelet connecté de proposer de visualiser la fiche d’utilisation d’une machine lorsque l’opérateur se trouve proche de cette machine ou d'avertir d'un danger à proximité.

Event

Concrètement, vous faites du BIM 4D temps réel permettant de détecter les mouvements des personnes, engins et objets ?

Le mouvement rajoute la dimension temps réel par nature à la maquette numérique. Néanmoins, d’autres types d’évènements sont monitorés comme la validation de tâches, de formulaire, le badgeage ou le scan de QR code et autres.

Dashboard

Quelles sont vos références ? Avez-vous de nombreux pilotes en cours ?

On peut citer Léon Grosse ou Demathieu et Bard dans la construction. Nous travaillons également avec des entreprises de TP. Nous aurons peu de temps de repos en 2019 😉.

Vos clients sont-ils essentiellement des entreprises de construction ?

Pas essentiellement, nous travaillons également dans l’Oil&Gas avec TechnipFMC ou la maintenance avec RATP par exemple.

Avez-vous évalué le nombre d’accidents évités grâce à votre solution ?

Il est difficile d’évaluer les accidents évités parce qu’ils n’ont pas eu lieu de facto. Nous préférons parler de presqu’accidents qui à notre sens sont beaucoup plus représentatifs de l’état de sécurité d’un chantier. Le presqu’accident, c’est un moment où l'une des règles assurant la sécurité des compagnons n’a pas été respecté et l'un des intérêts de notre système, c’est justement de pouvoir mesurer ces presqu’accidents. Nous avons alerté un peu plus de 10 000 fois les porteurs de nos dispositifs.

Vos solutions s’appuient en partie sur du hardware du type capteurs, senseurs, puces RFID ? Pourriez-vous nous en dire un peu plus ?

En terme de stack technologique, nous assurons la communication et la géolocalisation des opérateurs que ce soit au niveau -5 d’un parking et en haut d’une grue et que ce soit sur site fixe (chantier ou parc matériel) ou en transit entre un parc matériel et un chantier. Etant donnée l’utilisation de notre système pour la sécurité des hommes, nous pratiquons la redondance technologique afin d’assurer la transmission des informations. On peut alors citer quelques technologies utilisées comme le Dash-7 ou le Lora, en terme de géolocalisation nous sommes spécialiste de l’UWB (ultra wide band) mais nous utilisons également des technologies comme le GPS RTK, le BLE, NFC …

Vous fonctionnez en Edge computing. Quelle flexibilité cela vous apporte-t-il ?

Tous nos clients ne souhaitent pas envoyer leurs données dans le Cloud, même si l’application est hébergée dans leur infrastructure IT. C’est le cas pour la construction d’installations sensibles comme le nucléaire par exemple. Nous proposons alors l’installation sur site de la partie applicative ce qui permet d’assurer que les données ne quittent pas le site.

Par ailleurs, sur certains cas d’usage comme l'anti-collision engin-piéton par exemple, nous devons assurer la continuité de service ce qui ne nous permet pas l’utilisation des réseaux internet opérés.

Process design

Votre solution utilise en partie Autodesk Forge, la plateforme de développement web d’Autodesk. Quelles briques utilisez-vous et pourquoi ?

Nous utilisons la partie viewer directement intégrée dans notre application à laquelle nous rajoutons, les mouvements et certaines informations visuelles grâce à la librairie Three.js qui est utilisée comme brique de base pour le viewer Forge. Nous utilisons le viewer Autodesk pour le moteur de rendu web qui permet d’afficher des géométries complexes de manière rapide, ce que nous n’avons pas trouvé ailleurs.
Nous utilisons également Model Derivative pour le pré-traitement de la maquette Autodesk Revit ou IFC.

Workers

Vous avez des connecteurs pour Revit et Navisworks afin d’accélérer le transfert des données ?

Pas encore mais c’est prévu.

Vos solutions sont en mode locatif. Quel est le coût moyen de la mise en place d’une telle solution ?

Toutes nos solutions sont commercialisées en mode locatif ou achat. La location nous parait pertinente pour le BTP. Le coût dépend fortement de la solution choisie et du site. Notre offre « chantier connecté » est en général louée 10-15 K€/mois. L’offre de signalisation augmentée est vendue 56€ par panneau et le bracelet connecté 120€ (amortissables sur 3 ans). La coût de notre offre « Lean de grue » est d’environ 500€/mois.

Que souhaiteriez-vous faire passer comme message à nos lecteurs ?

Les objets connectés et l’avènement du BIM en phase d’exploitation offrent une superbe opportunité de transformer les business traditionnels en « data driven » business ce qui permettra d’améliorer drastiquement la performance opérationnelle. Même si le BTP a un peu de retard sur ces sujets comparé à d’autres industries, nous constatons que la transformation qui a lieu en ce moment est beaucoup plus rapide que dans d’autres secteurs par le passé. Ce retard et cette accélération s'expliquent en partie à cause de la complexité des projets du BTP et des enjeux économiques qu’une meilleure gestion représenterait.

Pour finir, il y a une citation qu’on aime bien chez CAD.42 de Lord Kelvin : “ If you cannot measure it, you cannot improve it” Je pense que cela résume bien notre philosophie.

Jean-Philippe, tout cela est passionnant. Un grand merci à vous et à votre Equipe et nous vous souhaitons un franc succès.

Technopole de Schneider Electric conçu par Arche 5 Architectes, réalisé par GA Smartbuilding, Ingénierie Artelia, le tout en BIM primé aux Green Solutions Awards 2018

Technopole Schneider Electric

Deux victoires de prestige pour le Technopôle de Schneider Electric !

Dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, le concours Green Building Solutions Awards 2018. a permis de mettre en avant les réalisations les plus durables et innovantes en termes de performances environnementales. Les lauréats français ont ensuite participé avec d’autres finalistes à la finale internationale qui s'est tenue le 6 décembre, en marge de la COP24 de Katowice (Pologne).

Le Technopôle remporte le prix dans la catégorie « Smart Building »

Le jury d’experts, s'est efforcé d'analyser les fonctions smart des différents bâtiments : gestion des éclairages, des volets roulants et chauffages, suivi des consommations, application mobile dédiée aux collaborateurs…

C'est finalement le Technopôle grenoblois de Schneider Electric — conçu par le groupe Arche 5 Architectes —, qui a été nommé vainqueur de cette catégorie « Smart » grâce à sa gestion complète des équipements énergétiques, au confort de l’air et des bureaux maximisés. Cet immeuble exemplaire, dit « Smart Grid ready » et déjà labellisé LEED Platinium, s’est appuyé sur les technologies du groupe — EcoStruxure for Buildings et EcoStruxure Grid — afin que la consommation finale passe sous la barre des 45kWh par an et par m². Ainsi le Technopôle dépasse les performances exigés car c’est un bâtiment intelligent capable d’optimiser sa consommation au fil des données récoltées.

D’une superficie totale de 38 000 m², dont 18 000 m² de construction neuve, qui se répartissent entre 10 400 m² consacrés aux laboratoires et 7 700 m² aux activités tertiaires, le site de Technopole est un espace pensé pour optimiser la collaboration et pour répondre à des exigences métiers spécifiques. Le bâtiment, conçu en collaboration avec le promoteur GA Smartbuilding, intègre ainsi de nombreuses technologies de pointe développées par Schneider Electric telles qu’EcoStruxure for Buildings, son architecture et sa plate-forme pour le déploiement massif de solutions IoT, ainsi qu’EcoStruxure Microgrid Advisor, plateforme permettant d’optimiser la consommation énergétique du site pour contribuer à la stabilité des réseaux électriques.

Arches 5 Architectes Technopole

Grâce à ces solutions, le site est également connecté à d’autres bâtiments situés à proximité (écoles, logements résidentiels, entreprises partenaires, etc.) dans le cadre d’un microgrid. Une maquette numérique et une maquette énergétique permettent de reproduire le comportement énergétique de cet édifice 100 % BIM (Building Information Modeling), notamment grâce à Autodesk Revit, à des fins d’exploitation, mais aussi de recherche.

Construit par GA Smartbuilding

Suite à un appel d’offre de Schneider Electric, l'un des grands leaders mondiaux de la gestion de l’énergie et de l'automatisation, GA Smart Building a répondu à ce contrat de promotion avec succès. Après plus de 14 mois de construction en BIM, notamment avec Autodesk Revit voulu par Schneider Electric, le Technopôle a pour objectif de devenir la vitrine technologique du savoir-faire de Schneider Electric, et un authentique « laboratoire-vivant » abritant plus de 1 000 collaborateurs.

GASmartbuilding Green Solutions Awards

Ingénierie Artelia !

L'Ingénierie de ce bâtiment intelligent a été réalisée par Artelia.

Artelia Ingénieroe Technopole

Deuxième couronnement !

A l'occasion de la COP 24 : le Technopôle de Schneider Electric, a enfin reçu une mention dans la catégorie « Smart Building » grâce à sa gestion complète des équipements énergétiques, au confort de l’air et des bureaux maximisés. Cet immeuble exemplaire, dit « Smart Grid ready » et labellisé LEED Platinium, s’est appuyé sur les technologies du Groupe Schneider Electric.

En savoir plus en cliquant ici sur le site de Construction 21.

En savoir plus sur le site de Schneider Electric en cliquant ici.

En savoir plus sur Arche 5 Architectes en cliquant ici.

72 millions de pounds pour la transition numérique dans la construction au Royaume-Uni et un pilotage de l’alliance par Bryden Wood

Bryden Wood BIM+

A découvrir, un article sur l'excellent site BIM+ sur le plan de transition numérique au Royaume-Uni qui est bluffant. Traduit de l'anglais au français.

Jaimie Johnston (ci-dessus), associé de l'Ingénierie Bryden Wood, a été nommée responsable de la mise en place de la nouvelle alliance chargée de transformer le secteur de la construction dans le cadre de l’accord sectoriel avec le gouvernement. Bryden Wood déploiera une équipe d'architectes et d'ingénieurs pour travailler sur le projet.

La Transforming Construction Alliance, annoncée en début de semaine passée par le département des Affaires, de l’énergie et de la stratégie industrielle Britannique, deviendra le principal centre d’innovation pour le développement des technologies numériques et la fabrication hors site. Il a reçu 72 millions de livres sterling pour les travaux de R & D

L’Alliance aura pour objectif de transformer la manière dont les bâtiments sont conçus, fabriqués, intégrés et connectés dans l’ensemble du portefeuille de construction du gouvernement. Elle développera ainsi :

  • L'utilisation d'outils numériques pour améliorer la collaboration et la coordination en phase de conception;
  • L'utilisation de techniques de fabrication pour réduire les délais et les coûts tout en augmentant la sécurité, la qualité et la productivité dans la construction;
  • De nouvelles conceptions normalisées pour la majorité des bâtiments gouvernementaux.

Bryden Wood dirigera la création d '«architectures de familles de produits», à savoir des projets et des composants standardisés, pour les nouveaux bâtiments de l'ensemble du gouvernement.

Cette alliance travaillera avec tous les ministères clés, analysant les types de bâtiments pour chacun et explorant les tendances dans l'ensemble du domaine pour aider les ministères à réaliser leur ambition de réaliser la majorité de leurs bâtiments de cette manière.

Jaimie Johnston a déclaré : «La productivité et la qualité du secteur ont stagné en raison de la nature à chaque fois unique des projets de construction. La plupart des concepteurs et des entrepreneurs partent de zéro à chaque nouveau projet. Toutefois, si des composants tels que les sols, les murs, les revêtements et les systèmes électriques pouvaient être adaptés à un modèle standard, les coûts seraient réduits et la qualité améliorée – un peu comme Ikea qui n'utilise que cinq ou six joints normalisés pour produire des milliers de produits. "

Bryden Wood est le pionnier de la construction axée sur la fabrication depuis plus de 20 ans. La technologie émergente et une approche standardisée de la conception s'unissent pour créer la même disruption que celle observée dans d'autres secteurs.

" Des perturbations se produisent actuellement dans le secteur de la construction, que vous le vouliez ou non ", a poursuivi Johnston. « Cette nouvelle collaboration est loin d’être un « amour idyllique », et tout le monde n’obtiendra pas ce qu’il veut. Mais les bénéfices peuvent être énormes : des maisons décentes, des écoles et des hôpitaux bien conçus et des infrastructures de transports efficaces.

«La collaboration a déjà bien fonctionné dans la construction britannique avec l'adoption du BIM. Si nous pouvons collaborer de la même manière pour transformer la conception et la livraison des projets, c’est le début de la transformation de la construction. ”

Les travaux ont déjà commencé avec le ministère de la Justice. Des prototypes de bâtiments ont été livrés par une petite équipe de détenus emprisonnés par Prison Industries. Ce groupe a été formé aux processus de fabrication, ainsi qu’à la manutention manuelle et au travail en hauteur.

La nouvelle intervient alors que le gouvernement a annoncé les détails d'un nouvel accord qui permettra au secteur ferroviaire de fournir davantage pour les passagers, de créer des emplois et de stimuler la croissance économique dans tout le pays.

L’accord sur le secteur ferroviaire, qui marque une étape clé dans la stratégie industrielle du gouvernement, contribuera à accroître l’échange d’idées entre l’industrie ferroviaire et d’autres secteurs, en prévoyant les problèmes sur le réseau avant qu’ils ne surviennent et en les résolvant par un travail novateur.

Un meilleur engagement entre le secteur et le gouvernement permettra à la chaîne d'approvisionnement de mieux comprendre la demande future. Cela permettra aux entreprises d’investir en toute confiance pour accroître les compétences et l’innovation.

L’accord aidera également le secteur à réduire les coûts de construction du transport ferroviaire, à soutenir le secteur dans l’accroissement de ses exportations, à attirer les petites entreprises sur le marché et à encourager davantage de jeunes à faire carrière dans le secteur ferroviaire.

Il apportera également des avantages considérables aux passagers en ouvrant la voie au développement de nouveaux produits destinés aux clients, tels que de meilleures applications de planification de voyage.

Source en anglais sur le site de BIM+ ici.

VINCI Construction et XTreeE révolutionnent la construction et lancent un concours d’impression 3D, le challenge 3DCP

VINCI 3DCP Challenge

L'impression 3D est en train de révolutionner le secteur de la construction mais aussi de la conception architecturale. Certaines sociétés telles que VINCI Construction, ainsi que XTreeE avec son procédé d'impression révolutionnaire mènent cette transformation de main de maître.

Des municipalités telles que Dubai ont d'ores et déjà annoncé que d'ici à 2025, 25% des bâtiment devront être imprimés en 3D. XTreeE est d'ores et déjà impliqué dans cette stratégie. Les initiatives se multiplient partout dans le monde, et notamment en France. XTreeE avec son procédé d'impression spécifique fait cependant figure de leader.

Xtreee-Logo-TEXT-RGB-for-Word

Dans le cadre de ce bouleversement de mode constructif, VINCI Construction et XTreeE lancent un concours afin de laisser libre cours à l'imagination des étudiants en écoles de design, d'architecture et d'ingénieurs en leur demandant un modèle 3D de leur concept, dans le but de pouvoir l'imprimer ! Challenge ultra passionnant s'il en est !

Leur défi sera d'exploiter la liberté géométrique que permet l’impression 3D de béton pour servir l’esthétisme, l’ergonomie et la performance de nos villes, logements ou infrastructures !

Les prix à la clef sont :

  1. Un voyage à Dubaï
  2. Un drône Parrot
  3. Une montre Apple Watch

Le concours se déroulera en trois étapes. Seul ou en équipe de 4 personnes maximum, il faudra élaborer un modèle 3D de leur concept (au format BIM .ifc, .3dm ou .step), accompagné de 5 slides de présentation (format PDF) puis il faudra déposer la candidature sur la plateforme dans l'une des deux catégories avant le 10 février 2019 !

Deux autres étapes suivront puisque des préselections auront lieu.

Ce concours vous intéresse et vous souhaitez y participer ? Retrouvez tous les détails ici et inscrivez-vous vite.

VINCI Construction et XTreeE révolutionnent la construction et lancent un concours d’impression 3D, le challenge 3DCP

VINCI 3DCP Challenge

L'impression 3D est en train de révolutionner le secteur de la construction mais aussi de la conception architecturale. Certaines sociétés telles que VINCI Construction, ainsi que XTreeE avec son procédé d'impression révolutionnaire mènent cette transformation de main de maître.

Des municipalités telles que Dubai ont d'ores et déjà annoncé que d'ici à 2025, 25% des bâtiment devront être imprimés en 3D. XTreeE est d'ores et déjà impliqué dans cette stratégie. Les initiatives se multiplient partout dans le monde, et notamment en France. XTreeE avec son procédé d'impression spécifique fait cependant figure de leader.

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Dans le cadre de ce bouleversement de mode constructif, VINCI Construction et XTreeE lancent un concours afin de laisser libre cours à l'imagination des étudiants en écoles de design, d'architecture et d'ingénieurs en leur demandant un modèle 3D de leur concept, dans le but de pouvoir l'imprimer ! Challenge ultra passionnant s'il en est !

Leur défi sera d'exploiter la liberté géométrique que permet l’impression 3D de béton pour servir l’esthétisme, l’ergonomie et la performance de nos villes, logements ou infrastructures !

Les prix à la clef sont :

  1. Un voyage à Dubaï
  2. Un drône Parrot
  3. Une montre Apple Watch

Le concours se déroulera en trois étapes. Seul ou en équipe de 4 personnes maximum, il faudra élaborer un modèle 3D de leur concept (au format BIM .ifc, .3dm ou .step), accompagné de 5 slides de présentation (format PDF) puis il faudra déposer la candidature sur la plateforme dans l'une des deux catégories avant le 10 février 2019 !

Deux autres étapes suivront puisque des préselections auront lieu.

Ce concours vous intéresse et vous souhaitez y participer ? Retrouvez tous les détails ici et inscrivez-vous vite.

Historique ! La Catalogne rend elle aussi le BIM obligatoire dès 2019 !

BIM Catalogne 2019

C'est officiel aussi ! Le gouvernement Catalan convient du caractère obligatoire de l'application de la méthodologie BIM à certains marchés de travaux publics promus par la Generalitat de Catalunya.
 
Dans moins de six mois, les soumissionnaires devront utiliser ce processus pour des contrats d'une valeur estimée à 5 millions d'euros pour les travaux et à 200 000 euros pour les fournitures et les services.
 
Le gouvernement Catalan a accepté l'application obligatoire du Building Information Modeling (BIM) pour certains marchés de travaux publics et de travaux de construction promus par l'administration de la Generalitat et son secteur public. Le BIM est inscrit dans la stratégie Europe 2020 afin de parvenir à une croissance intelligente, durable et intégrée garantissant une utilisation plus efficace des ressources publiques.
 
Le gouvernement de Catalogne a créé en mai 2016 une Commission interministérielle pour la mise en œuvre de la méthodologie BIM dans le cadre des travaux promus par la Generalitat. Le déploiement de ce système sera progressif, raison pour laquelle il ne sera pour le moment obligatoire que dans certains contrats identifiés comme prioritaires.
 
Ainsi, dans les six mois suivant la publication de cet accord au Journal officiel de la Generalitat de Catalunya (DOGC), la méthodologie BIM sera obligatoirement appliquée à tous les contrats publiés sur la plate-forme des entreprises de travaux publics et Construction, concessions de travaux et concours de projets, tant pour les nouvelles constructions que pour les projets de réhabilitation, promus par l'Administration de la Generalitat et son secteur public et dont la valeur estimée est supérieure ou égale à celle établie par aux marchés soumis à la réglementation harmonisée.
 
Dans ce cas, il s’agit de marchés d’une valeur estimée (en général, un budget d’appel d’offres sans TVA) à partir de 5 millions d’euros et pour les travaux et concessions de travaux publics, et de 200 000€ pour les marchés publics et les contrats de fourniture et de service.
 
Cette méthodologie sera nécessaire dans les contrats de valeur inférieure, mais qui, en raison de leur caractère unique, peuvent générer des rendements plus élevés. De même, pour les contrats de valeur inférieure, il peut être établi comme critère à évaluer dans le cahier des charges des prescriptions techniques ou des documents descriptifs, ou comme condition d'exécution dans les plis de clauses administratives particulières.
 
La méthodologie BIM, développée ces dernières années dans plusieurs pays, signifie un changement radical dans le développement du secteur des travaux publics. Il consiste à développer un modèle 3D virtuel et collaboratif du travail, qui intègre toutes les informations graphiques, économiques et temporelles, entre autres, sur lesquelles tous les agents impliqués tout son cycle de vie: conception, développement de projets, exécution et gestion des travaux, gestion et maintenance. De cette manière, le modèle évolue constamment et collecte toutes les données mises à jour qui doivent être autorisées à fonctionner pendant les différentes phases de l’action.
 
Enfin, il convient de noter que l’Accord stipule que l’utilisation de cette méthode ne peut constituer une discrimination pour les soumissionnaires, elle doit être compatible avec les produits informatiques à usage général, elle doit utiliser le standard ouvert IFC (Industry Foundation Classes), ou similaire et ne peut pas impliquer une restriction d'accès, en particulier dans le cas de petites et moyennes entreprises.

Source : Gouvernement de Catalogne https://autode.sk/2Esw2Bt

 

Historique ! La Catalogne rend elle aussi le BIM obligatoire dès 2019 !

BIM Catalogne 2019

C'est officiel aussi ! Le gouvernement Catalan convient du caractère obligatoire de l'application de la méthodologie BIM à certains marchés de travaux publics promus par la Generalitat de Catalunya.
 
Dans moins de six mois, les soumissionnaires devront utiliser ce processus pour des contrats d'une valeur estimée à 5 millions d'euros pour les travaux et à 200 000 euros pour les fournitures et les services.
 
Le gouvernement Catalan a accepté l'application obligatoire du Building Information Modeling (BIM) pour certains marchés de travaux publics et de travaux de construction promus par l'administration de la Generalitat et son secteur public. Le BIM est inscrit dans la stratégie Europe 2020 afin de parvenir à une croissance intelligente, durable et intégrée garantissant une utilisation plus efficace des ressources publiques.
 
Le gouvernement de Catalogne a créé en mai 2016 une Commission interministérielle pour la mise en œuvre de la méthodologie BIM dans le cadre des travaux promus par la Generalitat. Le déploiement de ce système sera progressif, raison pour laquelle il ne sera pour le moment obligatoire que dans certains contrats identifiés comme prioritaires.
 
Ainsi, dans les six mois suivant la publication de cet accord au Journal officiel de la Generalitat de Catalunya (DOGC), la méthodologie BIM sera obligatoirement appliquée à tous les contrats publiés sur la plate-forme des entreprises de travaux publics et Construction, concessions de travaux et concours de projets, tant pour les nouvelles constructions que pour les projets de réhabilitation, promus par l'Administration de la Generalitat et son secteur public et dont la valeur estimée est supérieure ou égale à celle établie par aux marchés soumis à la réglementation harmonisée.
 
Dans ce cas, il s’agit de marchés d’une valeur estimée (en général, un budget d’appel d’offres sans TVA) à partir de 5 millions d’euros et pour les travaux et concessions de travaux publics, et de 200 000€ pour les marchés publics et les contrats de fourniture et de service.
 
Cette méthodologie sera nécessaire dans les contrats de valeur inférieure, mais qui, en raison de leur caractère unique, peuvent générer des rendements plus élevés. De même, pour les contrats de valeur inférieure, il peut être établi comme critère à évaluer dans le cahier des charges des prescriptions techniques ou des documents descriptifs, ou comme condition d'exécution dans les plis de clauses administratives particulières.
 
La méthodologie BIM, développée ces dernières années dans plusieurs pays, signifie un changement radical dans le développement du secteur des travaux publics. Il consiste à développer un modèle 3D virtuel et collaboratif du travail, qui intègre toutes les informations graphiques, économiques et temporelles, entre autres, sur lesquelles tous les agents impliqués tout son cycle de vie: conception, développement de projets, exécution et gestion des travaux, gestion et maintenance. De cette manière, le modèle évolue constamment et collecte toutes les données mises à jour qui doivent être autorisées à fonctionner pendant les différentes phases de l’action.
 
Enfin, il convient de noter que l’Accord stipule que l’utilisation de cette méthode ne peut constituer une discrimination pour les soumissionnaires, elle doit être compatible avec les produits informatiques à usage général, elle doit utiliser le standard ouvert IFC (Industry Foundation Classes), ou similaire et ne peut pas impliquer une restriction d'accès, en particulier dans le cas de petites et moyennes entreprises.

Source : Gouvernement de Catalogne https://autode.sk/2Esw2Bt

 

Bartolo + Contré une nouvelle agence est née, et appuie sa pratique sur le BIM

Bartolo Contre

La naisaance d'une agence est toujours une joie pour les amoureux de l'architecture. Avec près de 20 années de pratiques architecturales, dans un premier temps au sein de grandes agences parisiennes pour Eric Bartolo, et dès 2006 au sein de l’agence BVAU (1), et pour Olivier Contré chez Brunet Saunier Architecture (2) dont il devient l’associé en 2010, avant de rejoindre Cardete/Huet (Kardham) dont il développe et dirige (en tant que nouvel associé), le pôle parisien d’architecture, leur permettent aujourd’hui d’assumer pleinement leur maturité. Une maturité par ailleurs nourrie par leurs expériences pour l’un, d’enseignant (3) et pour l’autre, de chercheur et d’auteur d’essais (4).

Une maturité qui les a encouragés à renoncer au confort d’un exercice professionnel parfaitement rodé pour organiser les conditions d’un nouvel envol, pour défendre, avec détermination et passion, les valeurs qu’ils partagent. Ensemble, ils s’engagent ainsi à faire émerger une nouvelle pensée, sculptée par des idéaux – par une éthique du milieu habité. Ensemble, ils inaugurent une approche sensible de la vérité, comme de la perfection construite. Une approche qui, enrichie par un dialogue permanent avec les maîtres d’ouvrage, les utilisateurs et tous les autres partenaires indissociables de l’acte de bâtir, témoigne de leur dessein – offrir à l’architecture qu’ils produisent non pas un état à jamais figé, mais au contraire une résilience lui permettant d’anticiper et d’accepter les imprévus, et in fine de se renouveler sur elle-même, sans jamais se dessaisir de ses qualités originales.

Bartolo Contre projets

(1) Bartolo Villemard Architecture Urbanisme
(2) Brunet Saunier Architecture
(3) Eric Bartolo a enseigné à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de la Ville et des Territoires à Marne-la-Vallée
(4) Olivier Contré a initié et développé le concept typologique du « monospace » hospitalier et a intégré la chaire BNP-Paribas « Operational Efficiency & Management Systems » de l’Ecole Centrale de Paris ; il a co-écrit « Monospace et Simplexité » aux éditions Bikhauser, « Complexité-Simplexité » aux éditions du Collège de France, « Simplexité et modèle opérationnel » aux éditions du CNRS.

Distinctions :
-Pyramides d’Argent, prix GrDF pour le projet Ménucourt et sa qualité environnementale, 2014
-Prix «Europe 40 under 40», décerné par le Centre européen d’architecture, d’art, de design et d’urbanisme ainsi que le Chicago Athenaum, musée international d’architecture et de design, 2012
-Europan 6, projet primé, 2001

La particularité de cette agence est qu'elle a aussi fait le choix de développer sa pratique autour du BIM et d'Autodesk Revit, pour encore plus d'innovation et d'efficacité dans le quotidien.

Découvrez le site de l'agence Bartolo + Contré en cliquant ici.

Bartolo + Contré une nouvelle agence est née, et appuie sa pratique sur le BIM

Bartolo Contre

La naisaance d'une agence est toujours une joie pour les amoureux de l'architecture. Avec près de 20 années de pratiques architecturales, dans un premier temps au sein de grandes agences parisiennes pour Eric Bartolo, et dès 2006 au sein de l’agence BVAU (1), et pour Olivier Contré chez Brunet Saunier Architecture (2) dont il devient l’associé en 2010, avant de rejoindre Cardete/Huet (Kardham) dont il développe et dirige (en tant que nouvel associé), le pôle parisien d’architecture, leur permettent aujourd’hui d’assumer pleinement leur maturité. Une maturité par ailleurs nourrie par leurs expériences pour l’un, d’enseignant (3) et pour l’autre, de chercheur et d’auteur d’essais (4).

Une maturité qui les a encouragés à renoncer au confort d’un exercice professionnel parfaitement rodé pour organiser les conditions d’un nouvel envol, pour défendre, avec détermination et passion, les valeurs qu’ils partagent. Ensemble, ils s’engagent ainsi à faire émerger une nouvelle pensée, sculptée par des idéaux – par une éthique du milieu habité. Ensemble, ils inaugurent une approche sensible de la vérité, comme de la perfection construite. Une approche qui, enrichie par un dialogue permanent avec les maîtres d’ouvrage, les utilisateurs et tous les autres partenaires indissociables de l’acte de bâtir, témoigne de leur dessein – offrir à l’architecture qu’ils produisent non pas un état à jamais figé, mais au contraire une résilience lui permettant d’anticiper et d’accepter les imprévus, et in fine de se renouveler sur elle-même, sans jamais se dessaisir de ses qualités originales.

Bartolo Contre projets

(1) Bartolo Villemard Architecture Urbanisme
(2) Brunet Saunier Architecture
(3) Eric Bartolo a enseigné à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de la Ville et des Territoires à Marne-la-Vallée
(4) Olivier Contré a initié et développé le concept typologique du « monospace » hospitalier et a intégré la chaire BNP-Paribas « Operational Efficiency & Management Systems » de l’Ecole Centrale de Paris ; il a co-écrit « Monospace et Simplexité » aux éditions Bikhauser, « Complexité-Simplexité » aux éditions du Collège de France, « Simplexité et modèle opérationnel » aux éditions du CNRS.

Distinctions :
-Pyramides d’Argent, prix GrDF pour le projet Ménucourt et sa qualité environnementale, 2014
-Prix «Europe 40 under 40», décerné par le Centre européen d’architecture, d’art, de design et d’urbanisme ainsi que le Chicago Athenaum, musée international d’architecture et de design, 2012
-Europan 6, projet primé, 2001

La particularité de cette agence est qu'elle a aussi fait le choix de développer sa pratique autour du BIM et d'Autodesk Revit, pour encore plus d'innovation et d'efficacité dans le quotidien.

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The openBIM / IFC Guide for Revit available for download in Spanish language

Manual Revit IFC Espanol

Autodesk has been involved for more than 23 years on openBIM and IFC when they first started the International Alliance for Interoperability which became buildingSMART International. The IFC standard is supported by the majority of Autodesk applications like Revit, Civil 3D, Navisworks, BIM 360 and many others.

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